Aspern 1809
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general jap
Nicol@s
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Aspern 1809
Mai 1809, campagne d'Autriche
Le Français déboule souvent là où on l'attend pas.
C'est encore une fois vrai, les pontonniers ayant assemblé durant la nuit un pont, pouvant permettre si on
le franchit, de tourner le gros d'un corps autrichien.
Une brigade d'infanterie traverse mais les crues endommagent l'ouvrage, bloquant de fait le reste, tandis
que les reconnaissances ennemies rendent compte du passage.
Réalisant qu'ils sont sur le point d'être encerclés, les « Kaiserlicks » réagissent.
Infanterie, cavalerie, mais surtout et pour transformer l'essai le génie qui, en amont, balance dans le cours
d'eau des brûlots enflammés et toutes sortes de débris.
S'ensuit une course entre les pontonniers français tentant de réparer leur travail, et les sapeurs autrichiens
cherchant à l'incendier, le rompre et le disperser au fil de l'eau...
Pendant ce temps, ayant rameuté leurs unités, les habits blancs tentent de reprendre le village, seul point
d'appui de la fragile tête de pont française.
Lourdes pertes des deux côté, plusieurs bataillons se débandent, jusqu'à un régiment entier d'infanterie
légère.
En mauvaise posture, les dernières unités de Napo encore en rang ont la satisfaction de voir, d'abord le
pont enfin réparé permettre le passage aux renforts, et ensuite l'arrivée de dragons et d'infanterie, ayant
traversé à un gué providentiel, déboulant à marche forcée sur une droite autrichienne incapable malgré sa
cavalerie de s'y opposer...
Les Autrichiens ne pourront donc résorber la tête de pont, mais peuvent se replier en ordre, tandis que les
Français, maintenant découverts et contenus, vont avoir bien du mal à développer une action offensive à
partir de leurs positions...
Toute similitude avec la bataille d'Aspern ne serait ni fortuite ni involontaire !...
Le Français déboule souvent là où on l'attend pas.
C'est encore une fois vrai, les pontonniers ayant assemblé durant la nuit un pont, pouvant permettre si on
le franchit, de tourner le gros d'un corps autrichien.
Une brigade d'infanterie traverse mais les crues endommagent l'ouvrage, bloquant de fait le reste, tandis
que les reconnaissances ennemies rendent compte du passage.
Réalisant qu'ils sont sur le point d'être encerclés, les « Kaiserlicks » réagissent.
Infanterie, cavalerie, mais surtout et pour transformer l'essai le génie qui, en amont, balance dans le cours
d'eau des brûlots enflammés et toutes sortes de débris.
S'ensuit une course entre les pontonniers français tentant de réparer leur travail, et les sapeurs autrichiens
cherchant à l'incendier, le rompre et le disperser au fil de l'eau...
Pendant ce temps, ayant rameuté leurs unités, les habits blancs tentent de reprendre le village, seul point
d'appui de la fragile tête de pont française.
Lourdes pertes des deux côté, plusieurs bataillons se débandent, jusqu'à un régiment entier d'infanterie
légère.
En mauvaise posture, les dernières unités de Napo encore en rang ont la satisfaction de voir, d'abord le
pont enfin réparé permettre le passage aux renforts, et ensuite l'arrivée de dragons et d'infanterie, ayant
traversé à un gué providentiel, déboulant à marche forcée sur une droite autrichienne incapable malgré sa
cavalerie de s'y opposer...
Les Autrichiens ne pourront donc résorber la tête de pont, mais peuvent se replier en ordre, tandis que les
Français, maintenant découverts et contenus, vont avoir bien du mal à développer une action offensive à
partir de leurs positions...
Toute similitude avec la bataille d'Aspern ne serait ni fortuite ni involontaire !...
Nicol@s- Messages : 218
Date d'inscription : 19/06/2013
Age : 35
Re: Aspern 1809
Merci Nico !
La suite ?, on verra...
La suite ?, on verra...
J.F. l'ancien- Messages : 1647
Date d'inscription : 04/12/2013
Re: Aspern 1809
Le passage d un fleuve est toujours délicat mais fait des parties très intéressante
Wyatt Earp- Messages : 559
Date d'inscription : 27/06/2013
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