Partie du 18 Juin

Espagne, Juillet 1809.
A la nouvelle de la victoire française à Wagram, Wellington, craint le retour de Napoléon en Espagne et décide de se replier au Portugal.
Les armées espagnoles, qui ne cessent de grossir, n'hésitent plus à prendre l'offensive mais sans succès : L'armée d'Estrémadure est vaincue par Kellermann près de Salamanque.
Défaits mais non démoralisés, les espagnols se replient en s'accrochant au terrain : villages fortifiés, collines, cours d'eau ...

Present

Présent . Un théâtre original mais violent.... le trocadéro c'est pas si sympathique que ça...

Présent itou

Present zaussi

Présent moi et mon frère

pas dispo....bonne partie à tous.

desoler je répond avec du retard mais je n était hélas pas la

Tres chouette partie. Le front espagnol est vraiment interessant; et jouer espagnol bien que stressant est vraiment interessant. Trés bien aussi cette option supplementaire aux règles, sur les dés d'actions et malus de fatigue accumulables.

Avantage tactique aux français qui ont fait de gros trous dans l'ordre de bataille espagnol, mais avantage stratégique aux ibères qui n'ont perdu ni le village ni la colline la surplombant, ce qui permet aux angliches de continuer peinards leur retraite vers le Portugal sans devoir regarder en arrière, du moins sur cet itinéraire...

Les Anglais s en sortent toujours. Ils sont à l interieur comme à l exterieur de l Europe .... mais toujours un peu à l'intérieur

arhhh , toujours insaisissables ces anglais ; ils savent toujours se barrer quand il faut ceux là .

content de voir que vous avez fait une belle partie

On a sacrément bagarré au niveau des redoutes, très sympa. Très bien joué les voltigeurs qui,
détachés du bataillon m'ont épluché ma belle batterie espagnole.
Au sujet des tests de réaction, c'est étrange que mes tirailleurs avec un ordre d' harceler refusent de décamper
pendant deux tours ( jet de réaction raté ) face a des dragons montés sur agressif...
Pas grave, on avait st georges avec nous

Je dirais que pour rester sur place, ils auraient du réussir leur test ....

Ces tests sont pour traduire les capacités (ou non capacités) d'une unité de base, le bataillon, d'être à même de juger une situation en évolution, et à pouvoir agir en fonction.
Toutefois, vouloir agir en conséquence d'un environnement immédiat changeant, veut dire aussi que l'unité à une bonne chaine de transmission d'ordres, du commandant jusqu'au simple caporal, ce qui n'est pas toujours le cas loin s'en faut...
Pour tes tirailleurs, ça voudrait dire que tu as tiré 4 D12 sans pouvoir bouger ?
Y avait-il un général à proximité de l'unité ?
Maintenant, rappelons qu'il s'agissait de troupes espagnoles, et que face à l'armée française elles ont très souvent pris cher.

Pour ce qui est de tirer un dé pour rester comme dit Gio, ça se fait simplement au moral ...

steph l'insouciant a écrit:
Au sujet des tests de réaction, c'est étrange que mes tirailleurs avec un ordre d' harceler refusent de décamper
pendant deux tours ( jet de réaction raté ) face a des dragons montés sur agressif...
Pas grave, on avait st georges avec nous

il me semble qu'avec l'ordre d'harceler il est obligatoire d'esquiver, mais je peux me tromper n'ayant pas la règle près de moi : à confirmer donc
merci pour la partie & au fair play des joueurs

Maintenant que tu le dis, je crois me rappeler aussi que l'esquive est automatique lors d'une charge...
Je vois ça ...

je confirme : p6, en bas à droite ; mais ça n'aurait pas changé gd chose : l'unité aurait été perdue plus vite (du moins si je la contactais...), c'est tout

L'idée de Steph était que l'unité, consciente du danger, aurait du replier bien avant d'être chargée.
Perso, je pense qu'un joueur a une vue générale de la situation et une connaissance de l'Histoire, à la différence d'un commandant d'unité.
Ces tirailleurs ne sont pas partis, alors imaginons qu'ils n'aient pas bien évalué le danger, que sur abus de confiance ils ont pensé pouvoir arrêter les dragons au tir, que le chef de bataillon a mal transmis les ordres au sein de l'unité, etc...
je crois toutefois que je vais réévaluer d'un point les facteurs de réaction ..

Dans ma regle XVIII eme s, une unite de tirailleurs qui n est pas derriere abris, retraite automatiquement vers un autre abris face à une unité réglée (inf ou cavalerie). Ce n est pas le boulot des tirailleurs de rester sur place. En tout cas au XVIII em s dans un terrain decouvert

oui, c'est suicidaire : la suite l'a prouvé du reste

C'est en théorie, maintenant bravade de soldats motivés mais sans expérience et persuadés de bloquer l'adversaire au feu, mauvaise appréciation du danger de la part du chef de bataillon, mauvaise transmission des ordres au sein de l'unité..., c'est tout ça que ce système tente de traduire.

Oui moi aussi je crois me que les tirailleurs doit esquiver automatiquement quand il est chargé par la cavalerie.

Mais il me semble que les espagnols sont un peu fanatisé par l 'église contre les français à l’époque cela pourrait expliqué la ténacité de certain

Le nombre d'exemples où des tirailleurs ont été ramenés dans leurs lignes à coups de sabre...
Preuve qu'ils n'ont pas toujours le temps d'esquiver.
De même que les contre-charges, pas forcément automatiques si on en croit les journaux de marche des unités de cavalerie de l'époque...
Précisons que la question ne se pose pas pour les "bonnes" unités de légers, ayant un bon facteur de réaction.
Elles esquivent sans difficulté, sauf quand elles sont diminuées.
Les "médiocres" unités de légers doivent quant à elles davantage anticiper.
Les facteurs vont de toute façon être légèrement revus à la hausse ...
On est un peu H.S., désolé Pierrot ...

ben pourquoi ?

je la trouve interessante cette discussion sur les legers ; je ne suis pas un grand expert de la periode napo mais j'imagine bien une charge de cavalerie face à une ligne de legers; j'imagine que l'envie de courir doit venir à l'esprit quand même ( surtout en raz campagne )